La digitalisation du handicap sert le monde entier.
Je pense depuis longtemps que la problématique du handicap peut être compensée par les technologies d’une manière générale.
J’ai 37 ans et ça fait près de 33 ans que j’utilise des moyen de déplacements adaptés à mon handicap. Mon scooter à quatre roues ou Rouladonf. Ils ont été conçu en termes de mobilité Handicap.
Ces sont les technologies comme l’électronique et de la mécanique qui ont permises l’augmentation de l’autonomie pour les batteries et l’ergonomie.
Puis depuis une vingtaine d’années apparaissent les technologies informatisées et numériques.
Je dicte cet article grâce à la reconnaissance vocale.
Depuis à peu près une demi décennie apparaissent des technologies mobiles comme la domotique connectée couplée à celle de l’intelligence artificielle.
A travers mes 20 années de pratique associative mais aussi mes 10 années de pratique innovante dans l’entrepreneuriat.
J’ai souvent appris et mis en action que quand on servait la cause du handicap on servait plus généralement la Société elle-même.
Il faut pas se le cacher, la principale problématique de la personne handicapée réside dans la recherche de mobilité et de l’accessibilité.
Il est possible de combler l’accessibilité physique par de l’accessibilité virtuelle.
J’utilise de nombreux soft sur ma centrale domotique mais aussi des softs sur mon mobile qu’il soit Android ou Apple. Très rarement payantes et souvent open source !
Bon nombre de mes clients qui n’ont pas de lien avec le handicap, accueillent de la clientèle en situation de handicaps. Ils se rendent compte de ses besoins et l’intérêts que cela peut représenter en terme de développement commercial. Des nouveaux besoins marketing et technologiques font aussi leurs apparitions.
Depuis maintenant 3 ans je travaille comme consultant pour la conception d’applications GPS et de réalité augmentée. De grands parcs de loisirs européens ont vite compris les débouchés.
Etant Disney addict j’ai pu étudier les pistes que pouvait offrir la digitalisation et toutes les technologies associées. Il en découle un confort pour les usagers.
Utiliser un plan papier est un vrai problème quand on est en fauteuil roulant ou aveugle. On a besoin de ses mains ou de ces yeux !
Il s’ajoute des contraintes d’accessibilité physique comme par exemple l’inclinaison des pentes ou encore le contraste des couleurs dans les divers cheminement.
Nous pouvons répondre à ces problèmes grâce à des technologies nouvelles. Ce n’est plus un besoin physique mais aussi un besoin émotionnel qu’il était facile de modéliser virtuellement donc de combler ainsi.
Maintenant avec la réalité augmentée ou la VR il est tout à fait possible de faire ressentir des informations ou des émotions.
Les utilisateurs sont parfois plusieurs milliers de kilomètres du lieu physique. Les personnes en incapacité de bouger et de se déplacer peuvent ressentir comme n’importe quel autre utilisateur ce que peut-être la magie d’une attraction, d’un paysage, ou même d’une activité physique.
C’est une démarche d’inclusion pour l’utilisateur mais aussi une plus-value économique et écologique pour l’organisateur du service.
Les technologies aujourd’hui permettent de pratiquer une activité dans son salon sans avoir à prendre un avion. On survole Le Grand Canyon de son canapé.
Cela représente un atout environnemental dans l’économie de l’empreinte carbone. Pourra-t-on parler un jour de tourisme virtuel ou d’activités éco-responsables ?
À l’heure actuelle où nous avons des contraintes d’accessibilité physique et de neutralité carbone. Le consommateur veut aussi une politique environnementale forte.
je suis prêt à parier qu’il y a un avenir important et à très court terme pour les loisirs virtuel mais aussi que c’est un fort vecteur de développement économique et de création d’emplois.